Derniers articles
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Au tribunal de Bobigny, les violences intra-familiales en cour spéciale
Pour faire face au surplus d'activité annoncée cet été, le deuxième plus gros tribunal de France s'est doté d'une chambre spéciale pour clore des affaires en souffrance. Avant de traiter les comparutions immédiates, la 31ᵉ chambre de Bobigny a vu défiler des auteurs de violences intra-familiales.
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Marche pour Wanys : « Personne ne devrait mourir comme ça »
Huit jours après le décès de Wanys R. dans une collision avec une voiture de police à Aubervilliers, près d’un millier de personnes ont participé à une marche blanche à La Courneuve, sa ville d’origine, pour réclamer justice.
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À Aubervilliers, Wanys, 18 ans meurt percuté par un véhicule policier
Wanys aurait dû fêter ses 19 ans dans quelques jours. Ce jeune habitant de la Couverneuve a trouvé la mort mercredi soir dans une artère de la ville voisine, Aubervilliers, après une violente collision avec un véhicule de la police.
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Le contrôle au faciès est-il impossible à condamner ?
Problème récurrent lors des interpellations policières, le “profilage racial” reste difficile à démontrer et à sanctionner. Mais pour Robin Médard-Inghilterra, docteur en droit et chercheur sur le sujet, des solutions existent pour prévenir et lutter contre les contrôles au faciès.
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Des JO et des Juges : les vendeurs à la sauvette dans le viseur
À l'approche des Jeux Olympiques, consigne a été donnée de nettoyer l'espace public. Une directive qui a forcément des conséquences sur les juridictions. Jusqu'à l'ultime épreuve, le BB chronique le quotidien du tribunal de Bobigny. Dans ce premier numéro, il est question des vendeurs à la sauvette. Poussés par la faim, ils reviennent inlassablement dans la rue malgré les arrestations et les condamnations.
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« Plus de bleu » dans les transports en commun, avec plus de pouvoirs
Philippe Tabarot, sénateur LR des Alpes-Maritimes, porte une proposition de loi visant à élargir les pouvoirs de la sûreté ferroviaire en vue des JO. Ce texte est examiné ce mardi au Sénat. Une proposition qui inquiète les juristes.
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Affaire Théo : les policiers condamnés à des peines de sursis, l’infirmité permanente écartée
Sept ans après les faits, le tribunal de Bobigny a condamné à des peines de sursis les trois policiers impliqués dans l'interpellation de Théodore Luhaka. La cour n’a pas retenu la qualification de violences volontaires ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente.
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Théo à la barre : « J’aimerais qu’on me redonne mon corps d’avant »
Depuis le 9 janvier, la cour d’Assises de Seine-Saint-Denis juge trois policiers impliqués dans l’interpellation violente de Théodore Luhaka en février 2017. Lundi à la barre, le jeune homme de 29 ans est revenu sur l’impact de cet événement sur sa vie.
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Au procès de l’affaire Théo : 50 nuances de bleues
À l’issue d’une première semaine de débat, la cour a semblé acquise à la version des trois policiers impliqués. Les membres de l’institution policière se sont succédé à la barre, dessinant un portrait exemplaire de leurs collègues poursuivis pour violences volontaires contre Théodore Luhaka.